Fédération des Canadiens-Français

Je me bats pour les Canadiens et Acadiens, peuples d'Amérique antérieurs et précurseurs du Canada britannique d'aujourd'hui. Le gentilé CANADIEN est intraduisible en anglais sans le dénaturer. CanadiAn étant un autre peuple. Je réclame un statut national avec les droits et les protections qui s'appliquent aux minorités sans statut en vertu du droit international. Voir notamment la Déclaration de l'ONU du 18/12/1992.

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mercredi 27 avril 2022

Groulx et la chasse à l'antisémite - Textes de S. Cantin, G. Caldwell, P. Trépanier et F. Dumont

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Textes du dossier
mardi 15 février 2022

De la culture de l'esprit - Causerie de Louis Francoeur - 1941

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Source : Daniel Laprès, Glanures historiques québécoises
dimanche 27 janvier 2019

François-Albert Angers avait tout compris dès 1980

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Un patriote exemplaire, un opposant au libéralisme   Avec 40 ans d'avance,  Angers avait prévu le déclin du souverainisme
mercredi 24 février 2016

Quinze textes de Jacques Sapir sur la souveraineté et le fédéralisme

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Quinze textes de Jacques Sapir sur la souveraineté et le fédéralisme
vendredi 13 mars 2015

Ouverture de ce Blog - Adresse aux lecteurs

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Lecteurs et lectrices, Ce blogue est une initiative personnelle. J'y placerai des articles choisis qui cadrent avec le titre et la des...
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Qui suis-je

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Gilles Verrier
Gatineau, Outaouais, Canada
J'écris pour obtenir de Québec et d'Ottawa la reconnaissance statutaire de la nation canadienne et française, formée aujourd'hui des Canadiens-Français. Toujours vivants, pour s'émanciper ils devront continuer de vaincre le temps pour s'affirmer dans la durée. Bien que menacées, les petites nations continuent d'enrichir le patrimoine culturel de l'humanité. « La disparition des nations ne nous appauvrirait pas moins que si tous les peuples étaient faits pareils, avec un même caractère, un même visage. Les nations sont la richesse de l'humanité, elles sont ses personnalités généralisées : la plus petite d'entre elles a ses propres couleurs particulières, et incarne une facette particulière du dessein de Dieu. » Alexandre Soljenitsyne
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