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Une crise de légitimité des représentations pourrait offrir une opportunité historique aux Canadiens-Français

Trump ignore l'Union européenne pour s'adresser directement aux nations. Canadiens-Français choisissons nos représentants ! Le tumul...

mercredi 29 janvier 2025

Une crise de légitimité des représentations pourrait offrir une opportunité historique aux Canadiens-Français

Trump ignore l'Union européenne pour s'adresser directement
aux nations.
Canadiens-Français choisissons nos représentants !

Le tumulte actuel crée une opportunité énorme pour le peuple fondateur du Canada initial, les Canadiens-Français et les Acadiens. Non reconnu par le Canada de 1867 et pas davantage reconnu par le Québec, notre peuple minoritaire et sans statut pourrait se propulser sans délai sur la scène internationale. Il lui suffit d'en avoir la volonté, de faire preuve de vitalité et de saisir l'occasion au vol.

Les peuples minoritaires et sans statut ont le droit à l'existence en vertu du droit international. La question ne relève pas de quelque référendum... Nous sommes un peuple minoritaire, délibérément démembré en provinces au sein du Canada depuis 1969 ; nous sommes en voie d'assimilation culturelle et linguistique partout. Nous ne jouissons d'aucun appui politique officiel dans aucune province. Il faut briser l'isolement provincial imposé par Ottawa et Québec et nous affirmer dans l'unité. Nous réclamons des institutions nationales communes et des protections au sein du Canada, assorties de garanties internationales. Appelons, identifions et choisissons des porte-paroles crédibles dans toutes les provinces et territoires. Replaçons notre existence dans l'actualité des peuples libres !

Lévis vainqueur à Sainte-Foi


Partagez dans vos réseaux, donnez forme à une vie nationale longtemps réprimée, haut les coeurs ! Vive le Canada français ! Vive l'Acadie !

*  *  * 

F. Philipot voit dans le manque d'égards de Trump envers l'Union européenne une occasion de libération pour la France. Pourquoi cette évolution inattendue ne serait-elle pas vue de la même façon chez-nous, par les défenseurs de notre continuité nationale ? 

https://youtu.be/TMEHZI3HIPo

dimanche 26 janvier 2025

L'annexion du Canada - L'ingérence est commencée sans être nouvelle


L'annexion du Canada, l'ingérence est commencée
Une initiative unilatérale des États-Unis en vue de l'annexion du Canada constitue un geste d'ingérence envers un pays souverain. Si ces visées de la grande puissance du Sud persistent, c'est d'une menace à l'intégrité nationale du Canada qu'il s'agit. En droit international, de quelque pays que vienne l'ingérence, elle n'est pas admissible. Elle ne l'est pas parce qu'elle brise les conditions du bon voisinage et compromet la paix internationale.

Résister et faire apparaître une opportunité nouvelle
Tout patriote qui croit sincèrement qu'une place doit être sanctuarisée pour les Canadiens issus de Nouvelle-France sur leur terre ancestrale doit rejeter avec horreur l'éventualité d'une annexion. Pour mémoire, nous avons déjà subi une annexion (M. Séguin), nous avons déjà donné...
Il faut se rappeler que tant que nous appartenons au Canada nous avons des droits (fort incomplets, il est vrai !) et des recours encore vierges. Nous pouvons les invoquer en vertu du droit international, même si c'est là une avenue sur laquelle nos chefs politiques n'ont jamais posé le pied. Le territoire est resté vierge. Du reste, nous n'avons pas eu les puissants appuis internationaux dont les peuples autochtones ont pu profiter pour faire valoir leurs droits. Notre "autochtonie" de souche européenne ne cadrait pas, selon certains critères, avec les stéréotypes autochtones des Amériques.

Breda, Les Lances
L'aménité entre le vainqueur et le vaincu, un fait de civilisation ?
La vision d'un accord de Daniel Johnson pr. ne s'est pas réalisée au Canada.
Elle se dresse en opposition avec le British de jadis et le Yankee d'aujourd'hui. 
L'affront de Donald Trump contre la souveraineté canadienne redonne une occasion.
La question décisive ? Des deux côtés,
y a-t-il assez de forces qui tiennent au Canada pour le redresser ? 

Ces recours concernent les droits et les protections qui s'appliquent aux peuples minoritaires non reconnus. Les peuples autochtones des Amériques s'y sont engagés avec beaucoup de succès. Dans la foulée, nos arguments seront d'autant plus forts et mieux reçus à l'internationale, précisément aux Nations Unies, s'ils établissent clairement l'antériorité de notre peuple en regard de la colonisation anglaise subséquente, qui s'empare par la force de nos pays naissants (Canada - Acadie). Il était prévisible que le nouveau maître des lieux l'exploitât à son compte. Le capital humain existant des Canadiens de souche sera mis à forte contribution, mais on coupera court à d'autres droits que la pratique de sa foi. Éventuellement, on rétablira des droits linguistiques interdits. Or, l'existence de droits linguistiques ne vaut pour la pleine reconnaissance nationale que l'aumône que l'on donne au mendiant. Il ne faut donc pas s'arrêter en chemin. La grâce francophone au Québec tient plus au nombre qu'à l'aménité.

Pour se renforcer lui-même, il est temps que le Canada nous reconnaisse enfin et rapidement comme peuple de plein droit. Avec la reconnaissance des Canadiens-Français et des Acadiens, (à côté des droits des autochtones déjà reconnus ), le Canada pourra mieux se démarquer des États-Unis. Il gagnera immédiatement en unité, une unité patriotique face aux ambitions démesurées d'une partie de l'élite américaine pathologiquement ambitieuse. Il est temps que le Canada souligne ses différences et se démarque plus radicalement de l'histoire des États-Unis pour ne pas tomber dans sa besace comme un lapin. Il faut rejeter une attitude fort peu patriotique, hélas trop répandue chez nous, qui voudrait que l'on jette la serviette à la première annonce d'un différend. Il ne faut jamais s'incliner d'avance et ne pas écouter ces compradores qui nous chantent que toute résistance serait futile.
Je parlerai une autre fois de la coopération / menace que posent deux réalités. Quelle est la place du Canada entre l'hégémonisme américain qui se déclare toujours "puissance indispensable pour le monde" et le monde multi-polaire émergeant. La question existentielle pour l'humanité consiste à atténuer les différends pour créer une climat de coopération multilatérale, sans distinction.

mercredi 8 janvier 2025

Les États-Unis devront accepter d'être un pays parmi les autres

m-à-j : 8 jan 22:34
dernière m-à-j 10 jan 00:05

L'ingérence étrangère américaine alimente l'insécurité

Les rédacteurs de la dernière politique canadienne pour l’Arctique (6 déc. 2024) savaient-ils que Trump était pour parler de l’annexion du Canada, du Groenland et de Panama ? En lisant cette mise à jour politique, on pourrait quasiment le penser. Le perte de concurrence des économies occidentales face à de nombreux marchés émergents, dont les marchés asiatiques plus productifs et plus innovateurs est maintenant admis. Mais pour y répondre, est-on en train de planifier une militarisation accrue de la planète au lieu de faire face au défi de la performance économique ? Ne vaudrait-il pas mieux se questionner aux États-Unis sur ce qui plombe les économies occidentales dont celle des États-Unis ?

Le lien caché entre le Canada, le Groenland et Panama
Vous êtes-vous demandé ce qui relie le Groenland, le Canada et Panama. Pourquoi Donald Trump a-t-il identifié ces endroits comme ceux qu'il voudrait annexer ? Commençons par le Panama et son canal puisque seul le canal est un enjeu. Longtemps sous administration américaine il a une importance stratégique indéniable. Pour mieux situer son importance, si on ajoute à Panama le détroit d'Ormuz et celui de Malacca (ce dernier étant le premier au monde en termes de trafic) on commence alors à nommer les premiers d'une douzaine des goulots d’étranglements stratégiques du commerce maritime mondial.

Contrôler ces passages obligés pour contrôler le monde n’est pas forcément une bonne idée, mais le fait est qu'ils sont intensivement patrouillés par les puissances limitrophes, ce qui est prévisible, mais s'ajoutent à elles des puissances venues de loin comme d'autres continents et en particulier des États-Unis. À cet égard, le droit international n'est pas unanime et les États-Unis, pour un, ont des prétentions assez libérales qui justifieraient leur présence permanente partout dans ces détroits, canaux, passages.

Un corridor maritime moins connu gagne en importance. C'est le corridor arctique qui est exploité par la Russie. Il est si peu connu qu'il ne figure pas encore sur les listes que j'ai pu consulter sur le web, ce qui n'enlève rien à l'accroissement du volume qui transite par cette voie année après année. Pour aller au fait, la réunion de l'Alaska, du Canada et du Groenland annexés par Trump permettrait aux États-Unis de plaider d'une seule voix en faveur de la version américaine du droit maritime, une vision qui permet aux É-U de jouer au gendarme autoproclamé, imposant unilatéralement sa marine dans toutes les zones stratégiques. Avec l'acquisition d'un immense territoire contigu à la Russie, les É-U pourraient en revendiquer la patrouille en invoquant le caractère international du territoire maritime, même si le tracé du corridor est plutôt enfoncé dans la Russie qu'au milieu de la mer polaire. Ce n'est que spéculation pour le moment, mais l'on voit très bien la possibilité qu'apparaisse un nombre important de contentieux, des frictions et de voir s'éloigner l'appaisement international.
Voici un échantillon de ce qu'on pouvait lire dès 2005 au sujet du corridor maritime arctique.
Ces « Routes beaucoup plus courtes que Suez ou Panama, ...offriraient des possibilités commerciales et industrielles notables, tout en permettant l’exploitation de gisements de pétrole et de minerais considérables. Mais ces routes constituent aussi des enjeux stratégiques majeurs pour les trois acteurs arctiques que sont la Russie, le Canada et les États-Unis. Pour ces derniers, la liberté de navigation de la marine américaine est fondamentale; pour les deux autres, les eaux des détroits font partie des eaux intérieures, relèveraient de leur seule souveraineté et ne seraient pas soumises aux droits de passage inoffensif et de transit. Des enjeux géopolitiques constituent le fondement des litiges entre ces pays.
Avec son annexion, l'interprétation du Canada à l'égard du droit maritime tomberait en faveur de celle des États-Unis. Dès lors, la Russie ferait face à un concurrent qui plaiderait haut et fort pour un statut international du corridor arctique russe, du moins dans toutes les zones où il y aurait matière à l'invoquer. Outre des objectifs géostratégiques, dont on vient de voir l'importance plus haut, quel autre intérêt pourraient avoir les États-Unis à dominer le Canada plus qu'ils ne le font déjà ? La question est ouverte, mais j'avancerais que le but est de retirer davantage de plus value du Canada... les États-Unis étant exagérément endettés. Mais c'est là une autre question.



De nos jours, le commerce maritime international devrait être garanti pour tous les pays et la militarisation des goulots d'étranglement interdites. Or, éprouvant des difficultés à faire face à une concurrence internationale vigoureuse, mais légitime, l’Occident avec les États-Unis en tête va-t-il persister à démoniser la concurrence au risque d'être éventuellement tenté de la détruite militairement ?

Avec un manque de responsabilité dangereux, la presse occidentale cultive allègrement une rhétorique anti-Chine, anti tout pays gagnant dans le jeu des marchés. A-t-on si vite oublié que ce sont des capitaux américains et occidentaux qui ont soutenu le miracle chinois ? Depuis 1970 ces capitaux ont transformé la Chine en puissance industrielle telle que nous la connaissons. C’est même à Shanghai que se trouve ironiquement la plus grande usine de Tesla au monde. Elon Musk travaille pour ses intérêts. Dans les années 1970, on enseignait dans les écoles de commerce américaines que la façon de faire beaucoup d’argent était d’investir là où se trouve une main-d’œuvre abondante et un marché en expansion. À partir de là, l’industrie américaine s’est relocalisée massivement en Chine. Était-ce un complot chinois ? Clairement pas, les É. U. se tiraient dans le pied. Appâté par un gain à court terme, les capitalistes américains vont contribuer à sortir 50 millions de Chinois de la pauvreté. Mais l’élève va finalement dépasser le maître. La Chine est devenue la plus grande puissance économique mondiale. Peut-on qualifier cette évolution de complot chinois ?

« Un point de passage obligé, en anglais « choke point » est un passage stratégique en matière de transport maritime. Les passages clés pour le transport maritime sont les goulets d’étranglement, étroits, peu profonds, talons d’Achille de l’économie mondialisée (Rodrigue et Notteboom, 2017). Ce sont principalement des détroits ou des canaux, parfois des caps, qui s’accompagnent souvent d’une limite de capacité des navires (désignér par le suffixe —max comme dans panamax ou suezmax)

Sur 150 à 180 passages maritimes internationaux retenant l'attention, on relève 28 passages de rang mondial dont 12 majeurs : détroit de Malacca, de Taïwan, Pas de Calais, détroit de Gibraltar, Bosphore, Dardanelles, détroit de Bab-el-Mandeb, canal de Suez, détroit de Macassar, d'Ormuz, cap de Bonne Espérance, canal de Panama (par ordre de fréquentation, Biaggi et Carroué, 2024). Ces passages représentent les quatre plus importants passages maritimes stratégiques du monde, d’une part du fait de l’étranglement qu'ils imposent à la circulation mondiale du fret et d’autre part à cause des activités et des ressources économiques auxquelles ils donnent accès aujourd’hui. En 2019, on estimait à 24 718 milliards de dollars la valeur des marchandises transitant par les grands passages maritimes stratégiques (ibid.). » (source : https://geoconfluences.ens-lyon.fr/glossaire/choke-point )

Je n’ai jamais pensé qu’un pays "malade" et très divisé comme les États-Unis pouvait élire un président libre et sain d’esprit compte tenu de son système électoral notamment.

Biden ne brille pas par sa présence d’esprit. Trump est un boutefeu mal dégrossi dont on ne sait jamais si ses paroles doivent être prises au sérieux ou pas, c’est dangereux. Avec sa personnalité qui fait peu de cas de la mesure et de la diplomatie, il n'est pas acceptable et c'est même du chauvinisme de grande puissance qu'il déclare ouvertement vouloir annexer des pays étrangers indépendants. C'est faire peu de cas de leur souveraineté. Ceux qui sont attachés à leur pays peuvent prendre ça comme une grossière insulte. Avec ça, avec cette attitude, il est quand même arrivé au pouvoir. 

L'impérialisme a connu de meilleurs représentants. Arrivé à cette décadence, ce sera peut-être son dernier tour de piste. Après s’être cru longtemps la seule puissance indispensable de la planète, ce grand pays devra accepter d’être un pays parmi les autres. Ce ne sera pas facile mais c'est une condition indispensable pour un apaisement général. En cours de route, il faudra revoir la Charte des Nations unies et reconsidérer le fameux "droit de veto" dont on a trop souvent abusé pour bloquer l'expression de la majorité internationale. Visiblement, Trump n’est pas prêt à réaliser des réformes d’envergure qui feraient consensus. Mais chose certaine, son Make America Great Again ne pourra pas se faire aux dépens des autres peuples sans créer de gros remous.

Pour approfondir le sujet :

https://www.revueconflits.com/la-route-maritime-du-nord-une-solution-dapprovisionnement-complementaire-pour-la-chine/

vendredi 13 décembre 2024

Une faille majeure d'interprétation de notre histoire ! Exclusif, inédit et sourcé.

Quand on croit avoir tout compris et qu’une faille majeure s’ouvre sur l’interprétation de toute une portion de l’histoire !
On a tellement insisté dans la littérature historique sur les causes sociologiques de la disparition des Canadiens-Français : urbanisation, déclin de la pratique et des institutions religieuses, etc. qu’on a pas vu qu’elles en cachaient d’autres, plus insidieuses.
Jamais jusqu’à présent n’avait-on mis en lumière les convergences politiques qui ont mené au démembrement et à la réassignation identitaire de la nation et du peuple issus de Nouvelle-France.

Un décryptage exclusif, inédit et sourcé.
LIEN : 

[m-à-j du 1/01/2025]

Le démembrement répréhensible en droit international d'un
peuple de quatre cents ans, séparé  et renommé
en "francophones" découpés par provinces.
Une réalisation de la duplicité de la 
Loi sur les langues officielles (1969) et de la québécitude.














mercredi 4 décembre 2024

Après 24 ans, la loi 99 (2000) a perdu son auréole

Des progrès encourageants !

Au cours d’une discussion en ligne voici quelques années, M. René Ricard (*) (co-auteur du livre, Ce que le Canada ne vous dira jamais, avait maintenu que les Canadiens-Français étaient inclus implicitement dans la diversité québécoise. Autrement dit, il ne fallait pas chipoter, la Loi 99 (2000) nous reconnaissait.  

À mon avis, ses arguments étaient certes de bonne foi, quelle souverainiste refuserait de se porter à la défense du Parti Québécois...  Pour ma part, j’ai continué de maintenir que les Canadiens-Français étaient exclus d'une loi qui, se voulait la plus inclusive possible ! 

dimanche 1 décembre 2024

L'Organisation du peuple canadien-français en Amérique d'après Alexandre Cormier-Denis

[m-à-j : 1 déc. 23h16] 

Le mémoire d’Alexandre Cormier-Denis 

MANIFESTE POUR UNE RECONNAISSANCE DU QUÉBEC COMME ÉTAT-NATION DU PEUPLE CANADIEN-FRANÇAIS

Nation et peuple
Effort louable de définitions qui met en évidence les ambiguïtés de la législation existante. 

mardi 26 novembre 2024

L'État laïque et la foi soluble (ou insoluble) dans la laïcité ?

Une chroniqueuse du Journal de Montréal concluait récemment à « la faillite du modèle éducatif étatique! »
 ( https://www.journaldemontreal.com/2024/11/15/a-la-defense-des-garderies-religieuses ) 
Et, en effet, dans une "société pluraliste" et qui se revendique comme telle, comment l'État

mercredi 13 novembre 2024

La stratégie machiavélique du fédéral pour mettre en échec la menace des Canadiens-Français : référendum et langues officielles

Le 16 novembre 1974, il y 50 ans, l'accession de la souveraineté par la voie référendaire était adoptée. Disons qu'il y a 50 ans ça semblait crédible, aujourd'hui c'est du folklore. On pourrait passer par-

mardi 29 octobre 2024

Des origines fédérales du référendum

À 50 ans, l'approche référendaire 
a griffé le Québec

Nous savons tous que le référendum a été soufflé à l'oreille de Claude Morin par trois membres éminents de l'équipe de négociations constitutionnelles de Trudeau. Morin qui avait ses interlocuteurs en haute estime retiendra leurs conseils référendaires «des plus

dimanche 13 octobre 2024

Le péquisme, une colossale imposture !

Patriotes, il est temps de rassembler ses esprits

Le retour à notre identité originale est une condition de notre salut. C'est la seule façon de vaincre l'effacement que nous prépare le mondialisme anglo-saxon. Le péquisme se solde par un échec lamentable, une colossale imposture qu'il faut

samedi 17 août 2024

Dans trois mois, l'approche référendaire aura cinquante ans

Ce qui est tenu pour acquis en 2024 ne l'était pas à l'époque
Un tiers des délégués au congrès du PQ de novembre 1974 votent contre la stratégie référendaire pilotée par Claude Morin. René Lévesque et ses lieutenants soutiennent ce dernier et font passer la motion. Cinquante ans plus tard est-il

dimanche 4 août 2024

Le 4 août 1701, la France et les Canadiens s’illustrent en Amérique

La Grande Paix de Montréal, une alliance sans égale

La paix de Montréal dans la foulée d'une Tabagie 
Ceux qui savent que la Grande Paix de Montréal a été conclue en 1701 sont peu nombreux à réaliser qu’elle se situe dans la foulée