Les fruits de la victoire laissés sur l'arbre...
M-à-jour 19 mars @16h30
« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même »Ne pas se connaître soi-même est toujours le principal problème aujourd'hui. L'identité nationale historique, sur laquelle reposait les revendications nationales a été mise de coté, mais le peuple qui la formait reste encore le seul parmi tous les Québécois à pousser ses revendications. Ne pas admettre cette réalité c'est ne pas se connaître et ne pas se reconnaître soi-même.
« Attaque ton ennemi quand il n'est pas préparé,apparais quand tu n'es pas attendu »Ça, c'était l'opportunité stratégique malheureusement impossible à saisir. Quand on ne sait pas qui on est, comment peut-on défendre ses intérêts ?
M-à-jour 19 mars @22h13
Commentaire anonyme
« La manière dont nous nous nommons, la nation à laquelle nous nous identifions, notre manière d’être et de nous dire, déterminent notre agir collectif.
C’est ainsi que, tant que nous sommes demeurés « Français du Canada », « Français-Canadiens » ou « Canadiens-Français » , nous avons su batailler avec succès pour maintenir et faire s’épanouir une société française de langue et de culture en Amérique.Mais depuis que nous nous sommes identifiés comme Québécois, et a fortiori comme Québécois de souche, nous régressons, nous perdons nos repères et nous nous anglicisons.Être Canadien-Français, c’est refuser la Conquête. Être Québécois, c’est en être un simple rejeton. »
Aucun commentaire:
Publier un commentaire