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La stratégie machiavélique du fédéral pour mettre en échec la menace des Canadiens-Français : référendum et langues officielles

Le 16 novembre 1974, il y 50 ans, l'accession de la souveraineté par la voie référendaire était adoptée. Disons qu'il y a 50 ans ça...

vendredi 19 mars 2021

Les fruits de la victoire laissés sur l'arbre


Les fruits de la victoire laissés sur l'arbre...
Le discours de Parizeau revu par Sun Tsu (L'art de la guerre)
« Attaque ton ennemi quand il n'est pas préparé, apparais quand tu n'es pas attendu » 

M-à-jour 19 mars @16h30 

« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même » 
Ne pas se connaître soi-même est toujours le principal problème aujourd'hui. L'identité nationale historique, sur laquelle reposait les revendications nationales a été mise de coté, mais le peuple qui la formait reste encore le seul parmi tous les Québécois à pousser ses revendications. Ne pas admettre cette réalité c'est ne pas se connaître et ne pas se reconnaître soi-même. 
« Attaque ton ennemi quand il n'est pas préparé, 
apparais quand tu n'es pas attendu »
Ça, c'était l'opportunité stratégique malheureusement impossible à saisir. Quand on ne sait pas qui on est, comment peut-on défendre ses intérêts ?

M-à-jour 19 mars @22h13

Commentaire anonyme 

« La manière dont nous nous nommons, la nation à laquelle nous nous identifions, notre manière d’être et de nous dire, déterminent notre agir collectif.

C’est ainsi que, tant que nous sommes demeurés « Français du Canada », « Français-Canadiens » ou « Canadiens-Français » , nous avons su batailler avec succès pour maintenir et faire s’épanouir une société française de langue et de culture en Amérique.
Mais depuis que nous nous sommes identifiés comme Québécois, et a fortiori comme Québécois de souche, nous régressons, nous perdons nos repères et nous nous anglicisons.
Être Canadien-Français, c’est refuser la Conquête. Être Québécois, c’est en être un simple rejeton. »

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