Pour de nombreux élus, le droit de siéger à l’Assemblée nationale se paie avec le reniement de ses
convictions. Ils ne croient pas à la monarchie et au roi, ils ne voient pas là la source de leur légitimité, mais ils se plient néanmoins à une obligation humiliante, celle de faire un faux-serment. Chez-nous, le début d’un mandat parlementaire commence toujours par la corruption des esprits. Un acte renouvelé pour plusieurs députés et une initiation pour les nouveaux venus. Pour faire passer la pilule, analystes et commentateurs minimisent l’importance de l’acte, n’y voyant qu’une simple formalité.Lire la suite sur le site Les Canadiens-Français à l'assaut du temps :
https://canadiens-francais.com/le-serment-au-roi-comme-mode-dinitiation-a-la-corruption/
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