Après d'autres méfaits : LGBT et wokisme façonnent maintenant les élites "globales" de demain

On connaît les plus prestigieuses universités américaines du Nord-Est des États-Unis comme étant celles de la Ivy League. Ce groupe élégant comprend les universités Harvard, Brown, Yale, Columbia, Princeton, etc. Peu contestent que ces vénérables institutions forment aujourd'hui les élites de demain, on pourrait dire de nos jours, les élites "globales" de demain.

Avec quelques autres en Europe, ces institutions ont été à la pointe dans la diffusion médiatique qui a rendu populaire les idées antinationales promues dans l'après-guerre sous des slogans semblables à celui de "plus jamais ça !" Ce sont des raccourcis intellectuels du genre qui ont servi chez nous à ternir l'image d'un nationalisme canadien-français en déficit de reconnaissance. Placé devant de nouveaux défis quant à la poursuite de son histoire, il a échoué à les surmonter. La suspicion croissante envers le nationalisme canadien-français a fait son chemin. Son déclin, bientôt présenté comme une idée d’origine populaire, masquait une obsolescence dont les causes n'étaient pas entièrement naturelles. Le discrédit jeté sur un nationalisme légitime, donnait au fédéral le prétexte pour sa provincialisation. Trudeau préparait le terrain pour la suite, un complément qui arriva sous la forme du multiculturalisme, dont certaines sources peuvent être également retracées dans les institutions de la Ivy League. Pierre Elliot Trudeau était étudiant à Harvard, n'est-ce-pas ? Le dernier lien, plus bas, aborde la question des origines du multiculturalisme. Le sujet a son importance et mériterait certes une étude plus approfondie. 

Aujourd'hui, un sondage effectué à l'Université Brown révèle jusqu’à quel point la jeunesse, qu’on destine à former l’élite de demain, est poussée vers le LGBT et le wokisme par une minorité bien en selle et sûre d’elle-même. En échange de la complaisance ou de la soumission, on assure aux jeunes favorisés une promotion sociale à peu près automatique. Mais on nous explique que leur succès serait le résultat d’une éducation de qualité supérieure. En réalité, ces universités, c'est à se demander si elles méritent encore ce nom, font croître en serre chaude les tendances qui déconstruisent le monde. De l'antinationalisme, au multiculturalisme, au féminisme, au transgenrisme, les idées qui influencent le monde occidental ne naissent pas dans les choux. Ordo ad Caho.

Extrait : [traduction automatique]

De nouvelles données d'enquête du journal étudiant de l'Université Brown fournissent une preuve supplémentaire que l'augmentation de l'identification LGBT est motivée par des pressions sociales.

Les dernières données montrent qu'entre 2010 et 2023, l'identification comme LGBTQ+ a presque triplé parmi les étudiants de Brown (de 14 % en 2010 déclarant qu'ils n'étaient pas hétérosexuels à 38 % maintenant). "Le sondage du printemps 2023 du Herald a révélé que 38 % des étudiants ne s'identifient pas comme hétéros, soit plus de cinq fois le taux national", a rapporté le Brown Daily Herald. "Au cours de la dernière décennie, l'identification LGBTQ+ a augmenté à travers le pays, avec une croissance particulièrement forte chez Brown."

Lien :

https://www.washingtonexaminer.com/restoring-america/community-family/forty-percent-of-brown-university-students-say-they-are-lgbt-suggesting-social-contagion

En complément sur ce blogue : [texte et vidéo]

https://gilles-verrier.blogspot.com/2021/10/les-liaisons-dangereuses-trudeauisme.html

[m-à-j 11/07/23 7h20]

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