Une identité qui combine la nation canadienne-française et la nation canadienne-anglaise ne pouvait que favoriser la poursuite de la dominance anglophone. Partout où les anglophones se combinent dans les institutions, partout ils dominent. D'autant plus vrai au Canada.
Pour la reconnaissance de la nation canadienne-française
Les revendications linguistiques qui ne réclament pas que la nation canadienne-française recouvre son identité propre sont un leurre. Pour que la nation historique se redonne du poids politique, pour qu'elle parle de nouveau d'une voix indépendante, elle devra exiger sa reconnaissance statutaire par Québec, à coté des onze nations autochtones pré-européennes déjà reconnues.
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