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Des origines fédérales du référendum

À 50 ans, l'approche référendaire  a griffé le Québec Nous savons tous que le référendum a été soufflé à l'oreille de Claude Morin p...

mercredi 30 octobre 2019

A-t-on encore le droit d'aimer sa patrie charnelle ?

[Texte publié simultanément au Bonnet des patriotes]

Enfin, qu’on le veuille ou non, l’identité d’une nation est charnelle :
 une part d’elle-même repose dans sa terre et ses morts.
Hubert Falco

Les piques des néo-nationalistes contre des personnes qui expriment leur attachement à la patrie du coeur se succèdent. Ainsi, André Parizeau, candidat communiste-bloquiste aux dernières élections, se

dimanche 27 octobre 2019

Sortir de la matrice : La question nationale et la troisième voie

J'ai reçu des commentaires de lecteurs me disant qu'on ne sait pas trop ce que je veux dire, on ne sait pas trop où je veux aller... Il est vrai que sortir de la matrice peut poser un défi de compréhension.

samedi 19 octobre 2019

Les 45 ans d'un étapisme référendaire plus que douteux

[Publié simultanément sur le site du Bonnet des patriotes]

Un indispensable bilan 
Six ans après sa fondation, le Parti québécois (PQ) faisait volte face. Le samedi 16 novembre 1974, le cinquième congrès du PQ adoptait une résolution prévoyant la tenue d'un référendum sur la

mercredi 9 octobre 2019

Face aux bigots CanadiAns, comment en remettre par rapport à la loi 21 ?


Les attaques soutenues du Canada anglais contre la loi 21 sont une occasion de revenir sur un sujet épineux dont le sens n'est pas forcément bien compris.

dimanche 6 octobre 2019

Octobre 1970 Les graves conséquences politiques de l'épisode felquiste

[Cet article est aussi publié sur le Le Bonnet des patriotes]

[créé le 6 octobre, mis à-jour le 7 octobre à 9:00]
Introduction 
Mi-témoignage mi-analyse. Ce texte est publié quelques jours avant l'anniversaire de la loi des mesures de guerre. Vécue directement par l'auteur, la crise d'octobre plongea le Québec dans un état de choc et influencera son avenir plus qu'on ne le pense. Ce texte se veut aussi une contribution au «bilan critique du PQ», un exercice de réflexion lancé par Richard Gervais, pour qui "l'important est de mettre au rancart le péquisme". On pourrait ajouter, pas seulement le parti mais son esprit.

vendredi 27 septembre 2019

Il faut revoir le mandat de New York, ville hôte des Nations Unies

Par souci pour l'environnement, puisqu'on en parle beaucoup ces jours-ci, et d'autres motifs, les pressions montent pour que les Nations Unies se mettent à la recherche d'une autre ville hôte. Grâce aux Nations

jeudi 26 septembre 2019

Le 26 septembre 1994, Jacques Parizeau devient premier ministre

[mis à jour 9:59 - 26-09-2019]

Il y a 25 ans, le 26 septembre 1994, Jacques Parizeau devient premier ministre du Québec. Il annonça son intention de démissionner comme député et premier ministre le 31 octobre 1995. Il démissionna le 29 janvier 1996 pour céder la place à Lucien Bouchard.

mardi 24 septembre 2019

La guerre dans tous ses états, grande oubliée de la destruction de l'environnement

Cet article a été écrit pour 
Le bonnet des patriotes :
http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/chroniques/item/22642


Greta Thunberg s'est finalement adressée aux dirigeants internationaux réunis au siège des Nations-Unies à New-York pour le Sommet Action Climat. Elle sera à Montréal le 27, dans un autre show très médiatisé. Avec son visage fermé, elle semble moins animée par l'amour de la planète que par une haine recuite des climatosceptiques.

jeudi 8 août 2019

"Québécois n'avait pas d'histoire", F-A Angers

Changer d'identité est un pari risqué pour toute nation. L'oser dans le cas d'une petite nation privée de reconnaissance et d'égalité politiques était lourd de responsabilité. 




Les pionniers de la "québécitude" prenaient donc un pari risqué. En rejetant une identité canadiEnne forgée par les tribulations de l'histoire, la crédibilité de leur projet ne tenait que par la promesse d'une réussite imminente, qui soulevait d'ailleurs l'enthousiasme. Cinquante ans plus tard, non seulement les résultats n'y sont pas, mais la "québécitude" nous aura valu un recul inédit face au Canada anglais. Les circonstances sonnent le rappel de notre identité historique.
Le chroniqueur Steve E. Fortin rapporte ce matin que pour la Commission des communautés culturelles du PLQ : 
« Nous sommes francophones, nous sommes tous des Québécois et nous sommes multiculturels ». 

Il faut leur répondre que si nous sommes tous Québécois, membres de ce grand fourre-tout multiculticulturel, nous ne sommes pas tous des Canadiens-français. La nation fondatrice du Canada ne doit pas être la dernière minorité à s'organiser, à revendiquer sa place et son identité. 
C'est ce que le multiculturalisme officiel nous impose. 
Le Québec aux CanadiEns !  


*   *   *

 Québécois n'avait 
pas d'histoire !
« ... ils n'ont pas assez tenu compte que l'expression "Québécois", elle, n'avait pas d'histoire et que tout le monde, ne la comprenant pas ou se refusant même à la comprendre comme eux, allait nous engager dans une lutte de signification de ce qu'est un Québécois. Tant que nous nous disions Canadiens-Français, personne d'autres que nous ne pouvait s'identifier à notre histoire, à nos droits, sans accepter de s'identifier à nous, tels tant de Canadiens-Français qui portent effectivement des noms anglais, irlandais ou écossais. »

François-Albert ANGERS
Analyse du référendum de 1980 II
Revue L'Action nationale
https://gilles-verrier.blogspot.com/2018/10/en-1980-francois-albert-angers-plaide.html

lundi 17 juin 2019

L'idéologie du progrès livre une guerre au passé

Le retrait du crucifix de l'assemblée nationale, promesse électorale à laquelle renonce François Legault, témoigne de l'incapacité d'une nation à assumer son passé. Cette décision témoigne aussi d'une fausse conception de l'égalité.

dimanche 9 juin 2019

L'État du Québec n'est pas notre ami !

« Quand l'opinion publique s'est à ce point éloignée de la réalité, il lui devient très difficile de donner naissance à un véritable leadership. »

dimanche 2 juin 2019

Gilbert Paquette ménage-t-il le fédéralisme ?

Si le Québec n'était pas bi-national, les Anglais n'auraient pas mis le feu au Parlement de Montréal !
[m-à-j du 2-06-019 19:05]


Je cherchais à illustrer ma dernière chronique, publié sur Vigile, par un article d'actualité qui me servirait d'exemple. C'est Gilbert Paquette qui m'en fournira l'occasion.