1- Le pouvoir provincial en voie de désintégration
Dans l'Action nationale (avril 2018), Lucia Ferretti nous offre un dossier solide - extraits ici - qui met en lumière l'érosion des pouvoirs du Québec.
Canadiens issus de Nouvelle-France, nous réclamons des Anglo-saxons un statut national depuis plus de deux siècles. Notre histoire est une épopée. Mon blogue s'inscrit dans le noble objectif de retrouver notre nom et de réaffirmer notre identité. Comme nation socio-culturelle et historique, nous voulons une reconnaissance statutaire au Québec et au Canada. Abonnez-vous au blogue pour ne rien manquer. Visitez notre site internet : https://canadiens-francais.com
« Le bilinguisme n'est que l'illustration de la décomposition entamée avec l'absence de conscience de ce que les défaites défont. »
Présentation :
À la lecture de l'article on comprendra que sept des dix provinces canadiennes doivent leur existence à la répression violente et à l'abus de pouvoirs « légaux » mais illégitimes des anglo-saxons protestants à l'encontre des fondateurs du Canada, devenus les descendants des vaincus.
Le Québec n'est pas un nation socio-historique mais une portion du territoire conquis en 1759 et constitué par la décision d'un souverain anglais. Le nom donné à ce territoire est « Province of Quebec ». Ce territoire est peuplé par plus d'un million de ceux que René Lévesque appelait - dans ses moments de lucidité « les Rhodésiens ». Ils sont acquis au Canada unitaire et dominateur auquel ils s'identifient. La cause de la nation socio-historique, rejetée par René Lévesque pour y préférer le territoire multi-national du Québec, demeure toutefois celle de la légitimité, celle ancrée dans l'histoire et déniée depuis seulement cinquante ans. Et avec quels résultats !
À propos du livre de Jean-Martin Aussant
La fin des exils : résister à l'imposture des peursAtelier 10, coll. Documents, Montréal, 102 pages